J’ai sorti mon joli pull

Coucou les filles ! Brrr il fait froid par ici, pas chez vous ? En tout cas en Dordogne on sort nos pulls. Et pour ma part, je sors LE pull ! Celui que vous avez vu sur ma whishlist. Je bavais devant depuis un bon moment, et la vague de froid survenue ces derniers temps était l’excuse parfaite pour céder à la tentation. J’en suis complètement amoureuse, contrairement à mes camarades masculins qui le qualifient de « vieux pull de vieille ». Mais qu’importe, il est doux, il est chaud, il est fluo, il a un p’tit côté péruvien, bref, je l’aime. Forcément, l’idée du nail-art associé m’est tout de suite venue en tête. Ni une, ni deux, à peine mon gros pull enfilé, je me peinturlurais les ongles dans des tons assortis. Voilà ce que ça a donné.

En plus, entre mon coup de foudre pour ce pull, et la réalisation de ce nail-art, je me suis aperçue que notre Pshiiit nationale, la reine de l’acétone et des paillettes, avait le même ! C’est trop fifou !

Associer un nail-art à un vêtement c’est bien gentil, mais quand on ne porte pas le vêtement en question ça peut faire étrange. En l’occurrence  ces ongles sans le pull je trouve ça très moyen, mais l’assortiment à fait son effet ! J’ai utilisé le Kiko holographique doré en base, quant aux chevrons, ils sont réalisés grâce au Licorice d’Essie, et la touche fluo est apportée par les néons LM Cosmétic que je vous présentais en splatter il y a quelques mois.

Has been nails !

Salut les filles ! Je vais tenter aujourd’hui, sous vos yeux ébahis, de briser les codes de la mode, afin de mettre un peu de lumière dans cette journée grisâtre. Avant l’été j’ai acheté pleins de vernis aux teintes ensoleillées : pêche, abricot, corail, mint et doré de toutes marques ont envahi les étagères de ma vernithèque. Oui mais voilà, cet été j’ai dû mettre de côté la manucure pour m’occuper d’ados râleurs et boutonneux. A mon retour le soleil s’était fait la malle, les gens portaient leurs vieux pulls, les passants dépliaient leurs parapluies, on disait bye bye aux vernis flashy et bonjour aux teintes automnales. Bon, forcément à ce moment là j’ai hurlé intérieurement « Naaaaaaaaaaan ! Mode de l’été, attend moi ! » mais ça n’a pas suffit. Ma vernithèque était devenue complètement has-been. Bah ouais, le temps que je rentre d’Auvergne la mode était au nude, et je n’avais pas encore essayé mes néons… vous voyez un peu le décalage. Et puis hier je me suis dit : FLÛTE ! J’ENCROTTE LA MODE ! (Z’avez vu comme je suis polie) J’ai envie de mettre un T-shirt coloré, ma cocotte dorée, et d’assortir un verni à tout ça dans des tons lumineux !!! Aussitôt dit, aussitôt fait. J’applique le Kiko Light Peach en base, je tamponne un peu de Kiko holo doré (si c’était l’été pour de vrai vous auriez vu ses superbes reflets), je stampe, je restampe. Et mon élan verniesque s’arrête après une couche de RapyDry. J’arbore donc des ongles pêches. OUI ce n’est pas une teinte de saison, et OUI c’était la mode de l’été 2012 et « On est plou en été 2012 ma chéwiie tou peux pas porter ça ! », mais voilà… moi la mode, je ne l’ai jamais vraiment suivie. C’est bien, ça donne des idées, et on est forcément un peu influencé vu qu’on nous bombarde de publicités toutes plus alléchantes les unes que les autres. Mais franchement, si vous portez du néon en novembre, et du noir en juillet, ça me fera beaucoup moins hurler que si vous portez un ensemble zébré moulant juste parce que c’est la mode du zébré ! Trêve de blabla, voilà le résultat, totalement abstrait, je vous l’accorde.

Maintenant venons-en aux choses sérieuses ! Vous l’aurez remarqué, la guest-star de cet article c’est… ma cocotte dorée ! Et là vous faites « Wahou, mais d’où vient-elle ? » et c’est là que j’me la pète à mort en vous disant « C’est Emilie qui m’la faiiiiiiiiite ! » Emilie c’est une chouette fille qui fait  et vend des bijoux trop jolis ! Elle a un blog, une page facebook, un profil Hellocoton, une boutique Dawanda, et une boutique A Little Market. Courrez voir ses créations, vous craquerez forcément pour l’une d’elles (je vous en présenterai d’autres dans les prochains articles). Sur cette suggestion je vous laisse profiter de cette fin de jeudi gris en écoutant cette jolie chanson !

Une galaxie au bout des doigts

Bonjour les filles !  J’espère que vous avez la forme malgré le temps un peu pourrave qui terni nos vernis. Pour ma part, j’ai profité d’une apparition furtive du soleil pour claquer quelques photos de mes ongles (oui, « claquer de la photo » c’est une expression qu’utilise mon papa, donc je sais pas si ça se dit mais j’le dis). Depuis un bon moment je voulais tenter un nail-art intergalactique. Pour le réaliser, j’ai appliqué deux couches du Dive Bar d’Essie, sauf sur l’annulaire ou j’ai opté pour l’Ozotic 505 histoire d’apporter un petit côté magique, puis j’ai tamponné un peu de Kiko holo bleu et de Nail Inc. Sloane Square par ci par là à l’aide d’une mousse. Sur mon annulaire, j’ai tamponné le Sloane Square en dégradé (ce verni me rend complètement folle). J’ai ensuite ajouté quelques points blancs à l’aide d’un dooting tool très fin, et PIF PAF POUF me voilà avec une galaxie au bout des doigts ! On ne voit pas bien le Dive Bar, c’est un bleu-vert pétrole très foncé, qui rend presque noir sur les photos. Vous l’aurez compris, rien de très compliqué, et comme dirait mon papa « A l’ombre ça fait foncé, mais à la lumière ça fait un bel effet ! » Merci Papa.

Ozotic 617, t’es trop fouuuuu !

Salut les bombasses ! (Ouais j’opte pour un langage cru aujourd’hui) J’espère que vous allez bien et que vous avez passé une bonne rentrée ? Pour celles qui ne sont pas encore rentrées (comme muhahahaha), il vous reste encore un peu de temps pour vous faire de jolis ongles, et j’ai justement un verni à vous proposer : L’ozotic 617. Admirez donc !

Bon, je n’saurais pas vous dire si c’est plutôt du vomi de licorne ou de la diarrhée de sirène, mais ce dont je suis certaine c’est qu’il est fait à partir de trucs magiques ! Non parce que, honnêtement, une telle texture, des paillettes argentées aux formes aléatoires, et ces micro paillettes mulltichromes qu’on découvre au premier rayon de soleil, ça ne peut pas venir du monde réel ! Ici je l’ai posé en deux couches sur une base blanche, mais je pense que deux couches seules auraient suffit. Lors de l’application, j’ai redouté un fini rugueux, avec toutes ces paillettes, mais que nenni ! Son fini est lisse et bien brillant. Je l’ai toute fois badigeonné de Seche Vite pour le porter plus longtemps. Alors, vomi de licorne ou diarrhée de sirène ?

Sinon les filles, le blog va certainement subir de gros gros changements ! Notamment un changement de nom, et donc d’adresse (pas d’inquiétude, vous me trouverez quand même, et le nouveau nom déchire sa race). Un changement de contenu également, je compte m’orienter un peu plus vers la beauté féminine au sens large, les avantages et les inconvénients liés au fait d’être une fille, avec des réflexions et des solutions pour lutter contre tous les petits désagréments que connaissent les femmes en matière de beauté. J’ai déjà pleiiiiins d’idées d’articles ! Mais pas d’inquiétude, la dominance du blog restera bel et bien le nail art, les vernis, le soin des ongles et tout le tralala. J’espère que tous ces changements ne vous bouleverseront pas trop ? Ça vous tente ou je devrais me cantonner aux ongles ? Vos avis comptent !  Bisous pailletés (et oui, je suis châtain/brune/blonde et rousse à la fois, pas facile à vivre tout ça)

Ozotic 617 disponible sur la Pshiiit boutique

Triangles et Paillettes

TAAAAAAAAAAADAAAAAAAAAAAAAAAM *ça c’est le bruit de mon entrée inattendue dans la blogosphère après un long mois d’absence* Je suis de retouuuuuur (je suis tentée d’ajouter « pour vous jouer un mauvais tour » mais je vais m’abstenir). Les colonies sont finies, et c’est avec la tête pleine de souvenirs, les ongles absolument détruis, les cuticules sauvagement grignotés, et la peau meurtrie que je vous retrouve ! Car oui, les colo, c’est éprouvant ! On est fatigué, on a pas le temps, on sprinte toute la journée, on se douche en 2 secondes top chrono… enfin moi j’dis ça, mais je partageais la chambre de Julie, donc on s’arrangeait pour avoir une bonne trentaine de minutes dans la salle de bain, ce qui est relativement salaud pour nos collègues, mais plus que vital pour nous. J’ai tellement de choses à vous raconter sur notre vie de NPA en colonie que je pense en faire un article… à voir avec Julie. Bref, tout ça pour vous demander de ne pas me tenir rigueur de l’état de mes cuticules, de mes ongles, de ma peau. Je suis actuellement en phase de reconstruction (un article là dessus ça pourrait être cool aussi non ?). Sans plus attendre, je vous montre mes mimines !

Pour mon retour, je voulais un truc simple, qui me rappelle l’été. Entre temps, j’ai claqué une partie de ma paye dans des bagues, histoire d’illustrer un peu mes photos. J’avais donc une bague et deux vernis qui me faisaient de l’oeil, d’ailleurs voici les coupables.

La manucure triangle au scotch, c’est aussi un truc qui me tentait depuis un moment. C’était l’occasion ! J’ai donc appliqué deux couches de Mint Milk (qui n’a pas la même couleur sur ces photos qu’au bout de mes doigts) puis deux couches de Razzle Dazzle. Attention aux sur-épaisseurs avec ce dernier, ce n’est pas très glamour mais si on veut une bonne couche de paillettes il faut passer plusieurs fois car le bougre n’est pas très concentré glitterement parlant. Voici le résultat, à J+4, tout de même !

Voilà les filles, j’espère que vous pardonnerez mon absence quasi totale ces deux derniers mois, mais je suis de retour, j’ai pleins d’idées, et si j’en ai le temps je vous inonde d’articles.

Razzle Dazzle de Picture-Polish
Mint Milk (389) de Kiko
Bague Claire’s

Chocolight ! Ou le gradient par les DS d’O.P.I

Par cette belle matinée d’août, je vous présente un dégradé aux couleurs totalement hors saison ! Oui, les marrons, chocolats, caramel, et autres couleurs portant un nom de nourriture, c’est plutôt pour l’automne ou l’hiver, mais au diable les idées reçues et les habitudes !

Parlons un peu des vernis ayant contribué à la réalisation de cette manucure : Mystery et Illuminate de la collection DS d’O.P.I.

Mystery, c’est tout plein de paillettes dorées qui baignent dans un verni très foncé, noir violacé. Dans son flacon il fait très envie. Seulement voilà, une fois sur les ongles, c’est autres chose. Les paillettes qu’on voit pourtant si bien à travers le verre épais de cette petite fiole sont aux abonnés absents une fois le produit appliqué. On pense que ça va scintiller de partout, mais le doré se transforme finalement en un marron cuivré bien trop terne. La brillance non plus n’est pas au rendez-vous. Le fini n’est ni mat ni brillant, en gros c’est un fini « pas fini ». La texture pâteuse du produit le rend assez désagréable à appliquer, mais le supplice ne dure point longtemps puisque il est parfaitement opaque en deux couches. Et surprise lors du démaquillage de l’ongle : une fois la pâte foncée retirée, on aperçoit une nouvelle couche… les paillettes dorées ! Elles sont là, agglutinées toutes ensemble, formant un tapis précieux, telle une feuille d’or posée sur l’ongle. Mais comment on-t-elle atterri là ? Sont-elles trop lourdes pour flotter à la surface du produit ? Dans le flacon elles sont pourtant bien réparties. Mystery est pour moi un véritable mystère, mais aussi une grande déception. Le seul mérite qu’il ai est de porter son nom parfaitement bien.

Illuminate, lui aussi, porte bien son nom. Un caramel rempli de paillettes holographiques. Il ne me tentait pas trop dans son flacon, mais une fois dégradé sur son pote mystérieux il m’a totalement séduite. Pour le coup, c’est un feu d’artifice ongulaire ! Ça scintille, ça brille, c’est festif et très lumineux. Il est opaque en deux couches, et son fini brillant est cette fois ci bien brillant. Pour ce qui est de l’application « normale », je ne peux vous donner aucun renseignement car je l’ai tamponné à la mousse, la texture m’a parue fluide et agréable. Illuminate m’a permis d’illuminer le terne Mystery pour une manucure plutôt automnale, cependant il est assez clair et lumineux pour être utilisé en été, et ses paillettes holo le classent dans les incontournables pour les festivités hivernales. Sa couleur de base est passe partout et s’associe facilement avec de nombreuses teintes. C’est un verni utilisable en toute saison, et ça me plait !

D’autres vernis de la collection DS attendent patiemment dans ma vernithèque, je vous les montrerai quand j’en aurai l’occasion.

Sunday Nail Battle : Pshiiitucure !

Bonjour les filles, en ce dimanche 5 août, je vous présente ma première participation à la Sunday Nail Battle d’Odile et Andreia. Cette SNB un peu particulière est sous le thème de Pshiiit, Camille, son blog, ses goûts, sa vie.

Sans avoir vu le thème de la SNB, et par le plus grand des hasards, j’ai réalisé avant hier une Pshiiitucure (oui, c’est comme ça que j’appelle les manucures de Pshiiit, je trouve ce mot super cool) en déclinant dans les tons bleus-verts la manucure que Camille nous a posté avant ses supers vacances au pays du thé à la menthe. Par un second hasard, j’ai utilisé le beau St George de A England pour mon ouvrage, un verni cher au coeur de notre Pshiiit internationale. Par un troisième hasard, je ne savais quoi faire en accent nail. Et aujourd’hui, en voyant toutes vos superbes créations pour la SNB, et en découvrant le thème de cette dernière, j’ai compris qu’il n’y avait pas de hasard. Quelques coups de pinceaux plus tard, voilà ce que ça a donnée. Comme le soleil est timide aujourd’hui, les couleurs sont moins vertes qu’en vrai (ce qui parait être un bleu ciel est le Kiko Mint Milk… vous voyez c’que j’veux dire).

Ce que j’aime chez Camille ? Elle reste humble malgré son succès et sa blogocélébrité qui prennent de plus en plus d’ampleur. Elle est disponible et à l’écoute de ses « Pshiiiteuses », même lorsqu’elle croule sous les commandes. Elle rend  le nail art accessible à toutes en alliant à la perfection créativité et simplicité.  Elle sait nous faire partager des petits instants de vie, tout en entretenant un certain mystère. Camille mérite amplement ce qui lui arrive, on attend plus que la PshiiitBox ! Pour le soin et le coeur qu’elle met dans son blog et sa boutique, tout se résume en deux petits mots :

From Pink To Red !

Salut les filles ! Je brise mon interminable absence par un petit billet, avant de retourner « hiberner » (blogalement parlant) en Auvergne avec 50 ados.
Sur ce post, je vous présente un dégradé. Attention c’est le début de ma période « dégradé », je préfère vous prévenir histoire que vous vous prépariez psychologiquement à ne voir que ça pour les 5 ou 6 articles à venir. Voici les vernis utilisés.

J’ai appliqué le Miss Den en base. J’ai ensuite déposé une bande de rose et une de bordeaux sur ma palette. Puis, à la jointure des bandes, j’ai légèrement mélangé les vernis à l’aide d’un pic en bois, ce qui permet d’obtenir un meilleur fondu. J’ai ensuite tamponné tout ça à l’éponge, une fois, puis deux, jusqu’à attendre un dégradé bien fondu. Jusque là aucun souci, je gère, mais le stamping c’est pas la même histoire. Comme vous le voyez, les motifs sont imprimés de façon… barbare. Oui mais voilà, moi quand je stampe, les motifs refusent de migrer sur le tampon ! C’est toujours un peu la guerre, j’arrive à chopper une partie du motif mais jamais, et je dis bien jamais, je n’ai pu avoir un motif entier ! Je pense pourtant avoir envisagé toutes les causes et trouvé pour chacune une solution : Mauvais verni ? Je n’utilise que des Konad ou la collection Mirror Metallic d’Essie (et je dois dire que c’est encore pire avec certains Konad, pourtant certifiés « spécial stamping »). Tampon lisse ? J’ai limé, plusieurs fois. Tampon ou plaque grasse ? Avant et après utilisation, et entre chaque passage de scrapper, je nettoie tout le matos à l’acétone pure. Tampon de mauvaise qualité ? Que ce soit le tampon Konad, ou le tampon XL noir sans marque que vous connaissez toutes (et qui est mieux, parait-il) c’est la même chose. Plaque de mauvaise qualité ? C’est vrai qu’avec la Konad XL c’est encore pire, mais avec les petites Konad ou les autres marques j’ai le même souci… Reste une possibilité : j’appuie trop ou pas assez fort. Là encore je pense avoir essayé pas mal de nuances de pression, mais comme je ne vois pas d’autre cause possible, je pense que le souci vient de là. J’en m’en remet donc à vous, mes blogeuses adorées et expérimentées :

Suis-je la seule la seule à être frappée par cette malédiction ? Des conseils ? Des expériences à partager ?

J’attend vos réponses. En attendant, je vous montre tout de même ce que moi, l’acharnée du tampon, j’arrive à faire de mieux.

Souvenir d’Auvergne, pensée pour Julie

Coucou les filles, me voilà rentrée de ma colo auvergnate. Grosse fatigue et big coup de blues, mais on remet ça début août donc je tiens le coup. J’ai ramené un petit souvenir de là bas. Non ce n’est ni du saucisson, ni du Saint Nectaire, ni même un porte clé marmotte (Maud si tu lis ces lignes, sache que je tiens à repartir du centre avec le fameux porte clé). Non, ce n’est ni plus ni moins qu’un verni Gemay rose. Mouais, pas très typique me direz vous, mais ce verni a une histoire. En effet, pendant les congés de mes copines Margaux et Julie, nous avons fait « un tour en ville » (comprenez : des courses au Simply Market de la Bourboule). Et là, PAF ! Je vois ce joli verni pétant ! S’en suit un dialogue des plus enrichissant « -Hé Julie, tu l’as vu lui ? -Non mais me tente paaaaas. -Il fait un peu te-pu non ? J’ai bien envie d’le prendre quand même. -Bon ok, j’le prend. -C’est vrai ? Bah si tu prends je prend aussi. » Et nous voilà à la caisse du Simply avec chacune son Rose Tepu (ou 155, oui parce que c’est pas son vrai nom hein), qui n’fait carrément pas te-pu à la lumière du jour, mais très été et dynamique ! Quand j’ai eu quelques minutes devant moi, je l’ai appliqué en deux couches fines avant de lui dégrader des paillettes argentées. Ce rose très légèrement irisé s’applique facilement. Le pinceau plat de Gemay (plus fin que les pinceaux Essie) est un gros bonus. Je l’aime bien, il est plein de pep’s,  parfait pour l’été. J’en profite pour vous montrer ma montre de chez Bleu Citron, elle aussi je l’aime bien. Et vous aussi, j’vous aime bien.

Ma première fois avec Nfu Oh Opal 56

Aujourd’hui les filles, c’est un article un peu spécial. Je vais vous livrer une partie de ma vie privée et de mes sentiments les plus intimes, en vous racontant ma rencontre et ma première fois avec le Nfu Oh Opal 56. On s’est rencontré sur le blog de Pshiiit. Entre  lui et moi, ce fut un coup de foudre surpuissant, je pense que notre rencontre était écrite quelque part, dans l’agenda des Dieux et Déesses du monde vierniesque. Sur la Pshiiit Boutique, nous avons planifié un rendez-vous. A peine trois jours plus tard, il sonnait à ma porte. Cette courte attente a tout de même fait monter en moi une excitation et une joie semblable à celle d’un enfant la nuit de Noël. Trop impatiente, je lui ai immédiatement arraché son emballage. Son papier de soie violet, sa petite plume bleue, et le petit mot écrit par Camille m’ont attendrie quelques instants. Puis j’ai sauvagement déchiré son papier bulle, et je l’ai enfin vu, de près, en vrai, dans mes mains. Il était encore plus beau que sur ses photos ! Nous nous sommes admirés mutuellement pendant plusieurs minutes, puis on s’est rapproché. Après avoir contemplé ses reflets de plus près, je suis passée à l’action. J’ai lentement dévissé son joli bouchon corseté, j’ai délicatement essoré son pinceau contre sa paroi, et j’ai vu ces flakies vert-bleutés couler de joie. Mais ne précipitons pas les choses ! Pour profiter un maximum de cet instant, j’ai appliqué une couche de verni noir. Je suis ensuite revenue vers lui, j’ai passé son délicat pinceau sur mon ongle verni, et la magie a opéré ! Une explosion de paillettes vertes, de flakies bichromes, dans un gelée transparente. Et c’est ici que j’arrête la métaphore, avant que cet article devienne trop osé. Son fini brillant était magnifique, mais une question résonnait sans cesse dans ma tête « Et en mat, ça donne quoi ? Hein, ça donne quoi ? Dit, tu veux pas l’matifier ? Juste pour voir ! Alleeeeeer ! ». J’ai cédé à ces démons, et l’effet minéral m’a séduite. Mais la seconde petite voix dans ma tête s’est ramenée, elle aussi « Non mais tu vas le laisser comme ça ! Il est tout terne ! Quel gâchis… avec un coup de Sèche Vite il serait vachement mieux ! Essais, tu verras. Béh essais j’te dis ! ». Pour contenter tout le monde (oui tout le monde = mes deux consciences et moi même) j’ai choisi de lui laisser une moitié mate, et une moitié brillante. Je vais maintenant vous laisser contempler sa couleur oscillant entre le vert et le bleu. Finalement, ce verni est comme moi : indécis, et cette manucure nous va bien. Les couleurs ne sont pas retouchées.

Vous savez tout. Mais pendant que vous bavez devant ses reflets, je suis loin, très loin de mon ordinateur. Je fabrique des déguisements africains, je fais un jeu de piste géant dont le but est de retrouver Simba, le Roi Lion. Je déguise ma copine Margaux en rafiki, et ma copine Julie en porteuse d’eau. Et je vous envoie pleins de bisous flakies !

Et vous, les flakies ça vous tente ?